Par Lionel Parrini
En partant, on s’est croisés, juste le temps de se dire : << il faut que l’on corresponde >>.
Oui, et c’est chose faite. Depuis son départ dans cette folle aventure et sans itinéraire précis, je reçois d’elle – dans le silence de la distance sans téléphone – des traces d’images – les siennes – qu’elle capture selon un cahier des charges intime, impulsif, improvisé.
Alors, grâce à notre accord farfelu, désormais explicite, je couche sur ses photos des phrases…”hors champ”